6ten : La nouvelle ère - Les Carnets 0 abonnés

Par rosio

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Tout avait commencé le jour où ma mère est morte, c’était un jour normal à Bonta, mon père rentrait de la moisson et parlait à ma mère comme d’habitude des bouftou qui disparaissaient parfois, c’était le seul sujet de discussion pour mon père qui n’est pas bavard. Un jour, il commença à parler, à parler tellement que je me demandais si il n’était pas malade pourtant… C’était ma mère qui était malade. Juste une gastro, pas besoin de s’inquiéter tant que ça…

Un jour, toujours malade, ma mère s’était allongée dans la bergerie mon père se dit qu’elle était folle pourtant non. Elle se releva et alla chercher une couverture. Je me posais sur une chaise qui était sur le porche et je la fixai. Elle y resta 3 jour mais jour on la retrouva mourante et dans la soirée elle mourut. De petites étincelles bleues montaient au ciel. C’était si intriguant.

Et ce jour-là changea ma vie et je savais que ce qui faisait ces étincelles était venu pour que je le voie et que je comprenne qu’il était temps.


Il était 6 heures du matin et j’avais peine à me lever, mais il était temps, mon père nourrissait les Piou et il savait ce que j’avais en tête, il vint à moi et me serra la main. C’était mon anniversaire aujourd’hui, je fêtais mes 20 ans. Il me dit bon anniversaire et m’offrit un bouclier j’étais très fier, je descendais d’une lignée de Féca très ingénieux et économe, mon père l’était et ma mère aussi.
Je m’en allais, je pris mon bâton et je partais en direction du port. Les marins étaient réputé pour être très…

- ‘’ Salut Matelots ! Comment ça va ? Une petite goutte ?

… bourrée même si ils sont très sympathique et qu'ils ne sont pas très chère..
Je me décidais d’embarquer et je vis un petit gars pas si sympa que ça… J’avais des remords pour lui, le pauvre, à son si jeune âge travailler comme ça.

J’examinais attentivement la carte de Sufokia tandis qu’un adolescent me fixais. Je lui dis de venir et il me posa des milliers de questions tout en approuvant ce que je disais il me demanda indirectement ce que je comptais chercher là-bas. Impossible de lui expliquer tout ça, ce qui m’y menait,…

Nous arrivâmes en retard à Sufokia à cause de ces arrêts pour acheter de la bière d’Amakna. Je partais en direction du port. À Sufokia, les gens avaient construit une sorte de pont géant, un embarcadère. J’examinais attentivement ma carte et je fis une faute grave… Je m’étais tromper de port mais bon, un passage dans la ville me ferait du bien.
La ville de Sufokia est une ville de riche on va dire, de pêcheur avec des gens très bizarre. Le lendemain, après avoir passé la nuit sous une barque de pêche, je me levais. Je regardais l’horloge de Sufokia, il était 6heures du matin. En me levant, je vis une petite fille tout droite les yeux bleus… tellement bleus… inimaginable. Elle semblait fixer quelque chose, je m’asseyais et notait ce qu’elle faisait, elle semblait s’élever dans les airs. Elle était assez belle et elle semblait dans des pensées, le soleil se levait il était si beau… je m’efforçais de ne pas fixer le soleil il était si beau si fixant et sans le savoir, je me levais. Je le savais, il ne fallait pas que je regarde le soleil et je m’efforçais de détourner le regard. Ce phénomène était si impressionnant, il n’avait aucun rapport avec ce que je cherchais mais c’était si impressionnant et les Sufokiens ne s’en apercevaient pas ou plutôt plus. Il fallait que j’enquête et je n’avais que le temps que le soleil reste en vue entièrement. Donc, tout la journée à peu près et je recueillais tout ce que j’avais comme donnée.



C’était fou, j’étais fou de joie, ma première expérience avec cet élément du monde.
Je m’aperçus, peu après, que l’écosystème s’était lui aussi arrêter. Plus aucunes vagues, plus aucun monstre. Je devais réunir tous les phénomènes. Mais avant ça, j’examinais ses yeux, bleus magnifique. Si pur si… J’étais comme envoûté, comme si je regardais le soleil. Suis-je bête ! Le soleil se reflète dans ses yeux ! Impossible de me retirer, vue que son intensité était basse, c’était long mais je sentais ma tête se vider, je pris mon bouclier avec ce qu’il me restait de vitalité et je le mis devant mes yeux et je m’extirpais.

Le soleil était certainement positionné un jour à un certain moment à un certain endroit. Je décidais d’aller roder en Sufokia, chercher des indices, ce qui me permettrait d’en déduire certaines données.
Il y avait des dessins de gens avec un chapeau assez long, des gens très explicite qui faisait comme des gestes de la vie courante. Des tapis dans les maisons avaient aussi ces dessins. Le soleil tapait au centre de ces dessins et on y sentait une odeur qui rappelle des souvenir, la ferme, mon père, les bouftou et les tofus…et ma mère c’était surement ça. C’était un solstice, le moment où le soleil touche ces dessins, les choses commencent à changer.

En me baladant, je vis un dessin d’un cube. Ce qui me choquait était ce bleu si pur… si beau.. si… Il était aussi enivrant que le soleil, soit ils étaient possédés soit ils faisaient un rituel soit ils étaient tous fou. Je couru voir les habitants et je compris vite que si ils étaient possédés, il fallait que je les aide. Ils devaient fermer les yeux. Je couru à la plage et leurs lancèrent du sable au visage et ils tombèrent tous au sol. Je leurs demandés de fermer leurs yeux et de me suivre, à l’abri du soleil les gens commencèrent à m’engueulés

- Mais pourquoi avez-vous donc fait ça !
- Mais oui, vous êtes fou ou quoi !
- Mais je pensais que vous étiez possédés…
- Non, nous fêtons le solstice Sufokien !

Ils m’expliquèrent que d’après eux, le dieu Enutrof leurs demandaient le 21 de chaque mois de fixer le soleil d’un regard neutre et de se laisser aller pour avoir prospérité et paix pendant le prochain mois dans leurs familles. J’essayais en vains de leurs expliquer que c’était un phénomène inexpliqué qui provenait des fondations de Sufokia. Ils me jetèrent dehors et repartirent tous se figer devant le soleil. Je profitais de ma solitude pour examiner chaque recoin de Sufokia. Ce cube était très beau et il m’intriguait vraiment il était peut être celui qui faisait ce solstice. Dans une maison presque abandonnait, un tapis avait le même symbole, j’y entrais et le soulevait un passage menait surement à ce cube ou à cette civilisation.

Mon courage me fit presque dégringoler l’escalier. Si je trouvais les raisons pour lesquels ces changements étaient survenus. En entrant je vis une personne assise sur une chaise appuyant sur des boutons bizarre. Elle portait un scaphandre et ne fit pas attention à mon arrivé je m’approchais et lui mis ma main sur l’épaule. Il bondit de peur et enleva son scaphandre en un éclair et me regarda d’un air étonné de ma présence ici. C’était une femme mais pas de chapeau ou de cube par ici à part des choses si intrigantes. Elle appuya sur un bouton et des gardes rappliquèrent. C’était des Steamers ! Je ne les avais pas reconnus mais que cachaient-ils ici, est-ce que ça avait un rapport avec la fumée qui provenait des fondations de Sufokia ?

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