Les histoires farfelues d'une Cawotte - Les Carnets 2 abonnés

3. Les héros débarquent à Amakna4

Cette histoire est un peu plus récente. Et pour être franche ... j'ignore totalement comment j'ai réussit à sortir un truc pareil. Peut être que y'avait eu de la drogue dans mes céréales ou un truc comme ça .. mais je crois que j'étais totalement dans une période de folie presque grave.
Je l'ai écrit le 1 décembre 2012 pour l'évent littéraire de Justin Premier.
Le principe de cet évent-ci était de faire une suite d'une histoire. Et donc j'ai fait ça !
C'est donc "Les héros débarquent à Amakna" ! Bonne lecture!

PS : la partie en italique est le début du texte donné par Suzet

La jeune eniripsa se mit à trembler. Ces muscles se tétanisèrent et son sang se glaça. La masse noire se retourna et la regarda. Elle s’approcha d’elle en marchant tranquillement, puis sauta sur l’arbre juste devant la petite fille, la faisant tomber par terre. La grosse bête n’était pas noire en réalité. Elle ressemblait à un humain vraiment très gros. Le monstre avait un pantalon remontant jusqu’au milieu de son énorme torse blanc et bleu, deux petites chaussures, une petite moustache rousse et un casque sur la tête. Il avait les cheveux roux, formant deux couettes tenues par des petits noeuds papillon noir. La petite fille trouvait très jolie la grosse ceinture verte et jaune qu’il portait autour de son énorme ventre. Elle le regarda, mais l’étrange monstre se remit à crier le même cri qu’il avait fait.
- PAR TOUTATIIIIIIS !!!!!
Le trouvant plutôt amusant, l’eniripsa aux cheveux d’or s’approcha de lui et lui demanda comment il s’appelait et d’où il venait.
- Je m’appelle Obelix. Et je suis là parce que môssieur Astérix veut que je retrouve Idéfix. Et donc je me suis retrouvée là tout d’un coup. Ils n’auraient pas pu m’envoyer à un endroit où il fait beau au moins ?! Tu peux me dire où je suis, petite demoiselle ?
- A Amakna ! Répondit la jeune fille avec un grand sourire, très fière de sa nation.
Le gros monsieur se mit à réfléchir. Jamais il n’avait entendu parler de cet endroit. Il regarda la jeune fille, vraiment très jolie, et lui demanda son nom.
- Je m’appelle Falbala. Mais maman voulait que je m'appelle Justine, à cause de Justin Premier.
- C’est joli comme prénom, Falbala. Et pourquoi c’est aussi moche ici, Falbala ?
- Ça, je l’ignore. Et je ne peux pas rentrer chez moi. Et des gens sont en train de mourir. Il y a de l’orage, et du feu, et des méchants ! J’ai peur, monsieur Obélix !
Le vaillant inconnu l’attrapa et la posa sur son épaule. Il marcha en évitant les flammes, mais tout d’un coup, ils se retrouvèrent face à un monstre. Un gros monstre. Un éééénorme monstre. C’était un chafer de trois mètres de haut, portant un casque de romain. Falbala se mit à trembler, mais Obélix fut pris d’une rage certaine.
- Attention Obélix ! C’est lui qui provoque tout ce mal ! Il va nous tuer.
Mais Obélix ne l’écoutait pas. Il la posa doucement par terre et fonça sur le chafer.
- UN ROOOOOOOOOOOOOOOOOMAIN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le chafer n’avait pas peur. Il lança un éclair sur le gros type à couettes qui fonçait sur lui, et se mit à rire quand l'obèse tomba par terre, électrisé.
Le monstre observa ensuite la petite fille et la captura avant même qu’elle ne se mette à crier.

Falbala était enfermée dans une cage à côté du Chafer. Celui-ci avait installé un trône après avoir tué un gros type bûcheron. Le squelette avait aussi installé un genre de zaap blanc derrière lui, qui lui permettait de savoir comment aller ses amis à Brakmar. Il buvait le sang du bûcheron quand trois personnages arrivèrent devant lui. Un en tenue d’araignée bleu et rouge ; un petit tout bleu avec un chapeau rouge, un pantalon de la même couleur et une grosse barbe blanche ; et le gros de tout à l’heure.
- UN ROOOOOOOOOOOOOMAIN !!!!!
- DOOOOOOOCTEUUUUR CURTIS CONNOOOOR !!!!
- Qu’est-ce que je schtroumpf ici ? Où sont mes schtroumpf?
Sans attendre, les deux qui avaient hurlé se mirent à taper le chafer pendant que le vieux en bleu délivra Falbala.

Après le combat, le Grand schtroumpf rentra chez lui, tout comme Spider-Man. Obélix se mit à chercher son cher Idéfix et le retrouva en train de jouer avec un Flaqueux. Falbala retrouva le château et sa maman, ainsi que tous les débiles du gouvernement.
Avant qu’Obélix rentre dans son monde à lui, Falbala lui demanda
- Comment se fait-il que Spider-Man et le Grand Schtroumpf soient venus à notre secours aussi ?
- Astérix leur a demandé de venir, car il sentait mon danger.
- Tu lui diras merci de la part d'Amakna et de moi.
Sur ce, Obélix disparut.
Pour finir, le temps était redevenu normal. Ce qui était cassé fut vite réparé et les gens blessés furent soigné par les eniripsas les plus doués d’Amakna.
Et tous vécurent heureux, jusqu’à la fin des temps. Un à New-York, un en Gaule, un dans un village avec des maisons champignons, et une à Amakna.