Wakfu

[BG] Albinos, porteur de poisse. - Les Carnets Nombre d'abonnés4 abonnés

Par Albynn
Les contes du vieil Enutrof -> Les histoires au coin du feu
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Dans la taverne, toutes les tables étaient occupées. On arrivait à la fin de la journée, annoncant le début du saoulage pour messieurs, des réprimandes pour mesdames. Dans un village de paysans, on n’avait pas grand-chose a faire après la moisson et l’entretiens. Dans un coin seulement, il y avait une masse sombre, assise par terre, essayant de se faire le plus petit possible. De temps à autre, un client lui lançait un pain moisi, rien que pour le voir se précipiter dessus et bâfrer comme un porcinet. Sous sa capuche, le gamin détestait faire ca, mais c’était le seul moyen pour qu’on daigne lui lancer quelque chose. Cela n’amusait personne de voir un mendiant manger correctement...
Des clients commençaient à se battre. L’encapuchonné reconnu le moment de partir, ou de se prendre un coup égaré....ou un coup de rage. Il allait ramper discrètement vers la sortie, quand un des clients l’attrapa par le bras.
- Fait voir ta tête, le mort vivant !
Et il lui retira la capuche. Le paysan bourré ne croyait pas si bien dire. Le gamin était blanc, non blanc comme pâle, mas il avait bien la peau blanche, presque confondable avec ses cheveux blancs, ainsi que des yeux rougeâtres. Il avait des cernes par manque de sommeil, et des joues creuse par manque de nourriture.
- UN BLANC MAUDIS !!
Illico, les clients se levèrent, la plus part chancelant. Sous le coup de la surprise, le gros joufflu lui avait lâché le bras. Tenant la cape à capuche à la main, le gamin courut comme un dératé vers la sortie, à une longueure de bras. Il devait avoir une dizaine, ou une douzaine d’années, et courrait plus vite que ses poursuivants. Ayant repéré un bois à la sortie du village, il courrait sans relache dans cette direction, sans signe de fatigue. Pour se fondre dans les ombres, il remit le vêtement, et entrepris une escale dans un arbre situé à l’orée du bosquet. Trop léger, ses pieds n’avaient pas laissé assez de traces pour être suivis de vue.
Arriver vers la nuit, les paysans laissèrent tomber. Le chienchien du gros fermier tournais en rond. Le gamin, prévoyant, avait passé la journée à tourner en rond dans le bosquet. L’animal revenait toujours au point de départ.
- Rien à faire, ce batard a disparu.
- Rha, aller quoi, le dernier maudis a chasser pour que Amakna vive en paix, c’est pas beaucoup demandé !
Mais les paysans s’en fichaient, tant que la malédiction ne venait pas chez eux. Le gros se retournant et hurla aux arbres :
- Petit, si tu te barre pas à l’aube, je te garantis que tu sortira pas en un morceau d’ici ! T’as pigé ?
Bien sur qu’il avait pigé. Il le savait même avant qu’il le dise. Comme dans tous les villages, il ne pouvait pas rester longtemps. Après une courte sieste sur l’arbre, il fichera le camp. Un autre gamin aurai sourit de satisfaction face à sa réussite, mais celui-ci ne souriait ni ne semblais pleurer. Seulement une tristesse figée semblais lui rester. Un voisin passa près du fermier, et lui dis :
- Laisse tomber, après un accueil pareil, il va décamper vite fais, le blanco. Et arrete de hurler, on va t’entendre jusqu’en ville !
- Ouai, ben qu’ils m’entendent ! Si ca pouvais faire bouger ce gouverneur pour qu’il nous débarrasse de ce genre d’enquiquineur....
- Sauf que c’est pas son rôle, tu le sait bien, il serait capable de te faire enfermer pour maltraitance aux enfants, même !
Le voisin partis d’un rire gras, tandis que le proprio du chienchien pinca les lèvres en disant :
- Manquerais plus que ca, tiens....
Perché à quelques mètres, l’Albinos avait bien entendu la conversation. Objectif : direction la ville.

Combien de temps cela pris, impossible a dire. Pour le gamin, tout les jours se suivent et se ressemblent. En tout cas, il vit la ville de loin. Les routes devenaient chargées de marchand qui vont et viennent, havre sac à la main, ou installé sur le dos. Sur la place marchande, des havres sacs étaient posé, leur propriétaire attendant des clients à l’interieur. Intrigué par l’objet, le gamin tendit la main pour tirer sur un de ces havre sac. L’objet semblais rivé au sol, tellement il était lourd. On ne déplace pas facilement un sac avec plusieurs personnes et tables de ventes dedans...
De l’autre coté de la rue, un homme bizarre regardais le gamin depuis quelques minutes. Pensant que personne ne faisait attention à lui, le gamin retira la capuche. Le jeune éni blanc ne pensait pas que, dans son dos, un « vendeur de corps » le regardait de manière louche. Il s’approcha et lui mis la main sur l’épaule.
- Hé, petite, ca te dirais de te faire un peu d’argent pour avoir un de ces chouettes sacs ?
L’eni se tourna vers le monsieur qui vit son erreur. Les eniripsa, même homme, était trop fluets pour que l’on sache, de loin, s’ils étaient des hommes ou des femmes. Par-dessus le marché, les enis hommes son peu courant. Cet eni, en particulier, avait les cheveux longs. Contrairement à ses collègue éniripsa, il ne les avait pas en brosse, mais les gardaient en mèches. Les yeux du vendeur croisèrent ceux rouges de l’éni, et pris un peu peur, en regardant son air neutre.
- Ha, désolé mon garçon, je...je te dérangerais plus...
L’homme avait l’air effrayer, ce n’était pas nouveau pour le gamin. En revanche, il ne noyait pas sa frayeur dans la violence. Ça, en revanche, était nouveau pour lui, il s’attendait plutôt à une bonne « correction » dans ces cas là. Même s’il était étonné, c’était quelque chose de dur à voir. Cela faisait un moment qu’il s’était décidé à garder toujours la même expression dans tout les cas. Une sorte de neutralité impassible, une nostalgie récurante, sans larmes. Pas de sourire, plus de larmes. Pour n’importe qui, ce gamin était vide de sentiments. Pour lui, c’était un moyen de survie comme les autres. Comme sa politesse poussée, comme sa capacité à courir extrêmêment vite, comme la cape à capuche.
Il remonta la rue, les commerçants ignorant purement son passage. Par contre, il était évident que tout le monde le fuyait. Là ou les gens se bousculaient pour se frayer un passage, lui avançait sans même frôler les gens, telle une goutte de savon repoussant l’eau au loin. A force d’avancer, il arriva devant un humanoïde à plume. Un Maitre Hibourge, perché sur son livre de compte, le fixa de ses grands yeux dorés. Ces employés de la justice ne s’occupent pas de rumeurs et préjugés, et regarda l’eni :
- Bonjour gamin. Besoin d’un renseignement ?
- Bonjour Monsieur.... je voulais savoir si je pouvais parler au gouverneur... ?
Les mots de l’eni trainaient. Le Maitre feuilleta son grand livre, et dis :
- Tu as rendez vous à quel nom, petit ?
- Rendez vous ? Je n’en ai pas, faites excuses, je viens d’arriver en ville...
Le maitre décolla le bec de ses archives et considéra l’enfant :
- Je vois. Bon, pas grave, donne moi ton passeport, je peux te donner un rendez-vous alors...
- Passeport ? Qu’est-ce ?
- Tu n’en as pas !?
A ce moment, un garde, avertis et suivis par le trafiquant, remonta la rue dans leur direction :
- C’est un maudit, arrêtez le, Maitre Hibourge !
- Et sans passeport, hurla un garde près du Maitre.
- Il vient surement d‘une autre nation pour nous porter poisse, renchéris le trafiquant qui arrivais à toute berzingue.
Voyant que cela partais mal pour lui, le gamin ne réfléchis pas et remonta la rue en courant. Il avait aperçut une arche bleue, un de ces portails que l’on appel « zaap ». Il ne savait pas, en revanche qu’il fallait de l’argent pour les utiliser... Courant encor plus vite que ses poursuivants, le gamin sortis sa carte de zaap. Horreur ! Pour chaque zaap qu’il avait enregistré durant la traversée du pays, il lui fallait dix kamas. Il n’en avait pas un seul en poche. Par contre, il y avait une destination inconnue, gratuite. Il posa la main sur le cercle le bleu, et dis la destination avant de traverser :
- Astrub.
Les poursuivants s’arrêtèrent, débarrassé du gosse.

L’albinos marchait sur une route qui ne semblait pas avoir de fin. De part et d’autres, il avait des parents et des enfants qui combattaient. Soutenus par leurs parents, les enfants et débutants montaient leurs premiers cercles. Des jeunes sacrieurs, iop ou enis tuaient leurs premiers monstres : des pious ou des bouftons. Où était il arrivé ? Selon la carte des zaap, le lieux avait pour nom « Astrub ». Trop occupé à regarder les combattants, il se cogna contre un livre géant, rebondis dessus et tomba en arrière. Un autre Maitre Hibourge ! Celui-ci baissa les yeux vers l’enfant tombé à terre.
- Bah alors petit, regarde où tu marche, ca vaux mieux pour toi.
- Excusez-moi monsieur....
- Alors, tu veux un passeport Amaknéen, donc ?
- Passeport ? A quoi cela sert, monsieur ?
Le Maitre griffonna quelques chose sur son livre lorsqu’un enfant lui tendis trois plumes grises, lui tendis un espèce de carnet puis revint à la conversation. L’enfant aux trois plumes sautait de joie en montrant le carnet à ses parents. Le petit eni les regarda partir avec une pointe d’amertume.
- Un passeport... Il te sert à te balader librement dans une nation et à savoir à quelle nation tu es attaché. C’est un carnet de renseignements nominatif, avec les lois de ta nation, le nom de ton gouverneur et quelques renseignements sur le pays. Il te permet aussi d’aller dans la ville principale de ta nation.
- Ha, d’accord...
Il comprenais un peu mieux la réaction du Hibourge d’Amakna. Cela signifiais presque que n’importe qui pouvais venir en pleine ville, quelque soit son passeport. En ce moment, ils devaient etre en train de renforcer la sécurité en ville.
- Vous parlez de Nations au pluriel.... il y en a plusieurs ?
- Oui petit. Il y a Amakna, dont tu as l’air de venir d’après ton accoutrement. Si tu longe la route derrière moi et que tu va au Sud, tu ira vers Brakmar, la ville des forts, des sans peur et l’on dit aussi, des sans-cœurs. Ensuite, vers l’Est, il y a Sufokia, ville engloutie, cité des pêcheurs et roi de l’eau. Enfin, vers l’Ouest, il reste Bonta, la ville de la Justice et de la tolérance.
- Tolérance, c’est vrai ?
- En tout cas, plus tolérante que les trois autres, je crois. C’est ce que l’on dis. Alors, tu veux ton passeport Amaknéen ?
Le gamin ne réfléchis pas longtemps, avant de répondre :
- Non, désolé monsieur mais je ne crois pas que ce soit une nation pour moi. Bonne journée à vous.
- Bonne journée, jeune homme, dis le Maitre avant de replonger du bec dans son livre d’achives.

Selon les indications, le jeune Albinos descendis la route. Au croisement des quatre routes trônait une immense sculpture d’un capitaine, buvant une chopine grand comme l’éni. Ne se souciant pas vraiment d’enrichir sa culture, il n’alla pas lire le panneau. Il prit directement le chemin ouest, et alla voir le maitre Hibourge de Bonta. Au passage, il observa tout de même ce qu’il croisait. En dehors des combattants débutants, le paysage valais le coup d’œil. Il passa devant la taverne de l’endroit, apparemment mouvementée par de multiples combats, plus sérieux que les simples batailles avec les monstres du coin. Il y avait beaucoup de tables à extérieur, mais personne assis devant pour l’heure. Plus haut, il y avait une petite bâtisse, avec les couleurs bleues et blanches de Bonta. Surement un bâtiment important. A gauche, il vit une entrée de souterrain et une sorte de roulotte abandonnée, avant de devoir ouvrir un portail de fer et arriver face au Maitre Hibourge de Bonta.
- Excusez-moi, Monsieur ?
- Besoin de quelque chose, bonhomme ?
- Oui, je voudrais obtenir un passeport Bontarien, c’est possible.... ?
Le Maitre Hibourge leva le nez de son propre livre géant, et par-dessus ses lunettes, lui demanda :
- As-tu déjà un passeport ?
- Non... Est-ce grave, Monsieur ?
- Non, cela vaux mieux, même. Bien, alors je vais te demander de faire un petit travail, comme tous les autres demandeurs.
- Tout ce qu’il faudra, Monsieur.
Le Maitre lui montra une des plumes grises avec lesquelles il écrivait et lui expliqua :
- En tant que gérant des archives, j’écris beaucoup, j’use donc rapidement de mes plumes d’écritures. Tu as peut-être remarqué une petite bâtisse au dessus de la taverne ? C’est le centre des archives ou je range chacun des mes bottins ainsi que des documents confidentiels. C’est aussi la bâtisse de l’ambassadeur Bontarien, mais passons.... J’écris beaucoup, donc de ce fait, il me faut énormément de plumes à gratter. Voilà ce que je te demande : dans les jardins, récupère-moi trois plumes pour écrire, et je te rédigerais ton passeport.
- Oui Monsieur !

Le petit blanc n’avais pas trop de mal à trouver les plumes. Contrairement à ses camarades, il n’avait pas besoin de tuer les pious pour leur piquer les plumes. En s’approchant doucement par derrière, sans bruits et geste brusque, il ne devenait pas trop dur d’obtenir les plumes d’écriture. Il connaissait déjà le métier de trappeur, nécessaire à sa survie seul dans les champs. En deux minutes, il avait récupéré les trois plumes et revint voir le Maitre.
- Déjà de retour ? Rapide, petit.
Le maitre considéra les trois plumes en les tournants et retournant, vérifiant chaque barbe composant la plume.
- Des plumes en excellent état, c’est étonnant. Très bien, je vais faire ton passeport. Quel est ton nom ?
- « Albaïne ».
- Pardon, comment écris-tu cela ?
Il lui emprunta une plume encrée, et l’écrivis sur sa mains. Les six lettres « ALBYNN » furent bien reconnaissable pour le scribouillard, qui l’informa :
- A Bonta, attend toi à une prononciation différente, petit. Ce nom sera prononcé « Albine » alors ne t’étonne pas.
- Ce n’est pas grave, Monsieur, cela m’arrange quand même.
En effet, songe le bonhomme en prenant la direction du zaap, avant, on ne l’avais jamais appelé avec son nom. Qu’on le prononce différemment que la personne qui lui avait donné l’arrangeait un peu au fond : cela lui permettrais de tourner une bonne fois la page avec le pays qui ne voulais pas de lui. En touchant le zaap, Albynn se sentais un peu anxieux : cette fois ci, avec un passeport, il ne pourrait plus changer de pays. Il venait de prendre une décision irrévocable.
- Bonta.

Il atteris sur une pelouse. Il pensait avoir fait une erreur, mais non. Tout le long de la ville, on voyais des arbres, de la pelouse, des plantations. Avançant le long des pavés composant la route principale, il croisa le Maitre Hibourge de la ville, qui disait à la cantonade :
- Descendez voir Gébart Junot pour votre havre-sac ! Pour les débutants, la taverne est le lieux des renseignements en tout genre ! Suite au changement de gouverneur, consulter regulièrement votre carnet de nation pour prendre connaissance des nouvelles lois !
Impatient de découvrir sa nation, Albynn salua rapidement le Maitre en s’inclinant et partis en courant, descendant la route principale. Il sortis sa carte, et remarqua tout de suite l’étrange forme de glaive de sa nouvelle nation. Il vit aussi qu’il n’était pas loin de la taverne, le fameux « point de renseignements ». Sans trop savoir ce qu’il y chercherait, il descendit en marchant, prenant le temps de regarder à droite à gauche.
L’avenue de simple pierre était bordée des deux cotés par diverses plantes et arbres. Il y avait principalement des frênes, et du chardon. Mais la ville n’était pas faite de simples pierres comme à Amakna. La ville de Bonta vivait. Les jeunes courraient de ci de là, respirant l’air donné par les plantes. Beaucoup de visages étaient radieux. En continuant sur le chemin, il croisa ce qui était, manifestement, la Taverne de Bonta. En regardant par la porte battante, il vit que, comme à Amakna, c’était le lieu de rassemblement général. Par contre, il ne voyait pas beaucoup de gens saoul. Certains tanguaient un peu, en effet, mais bien moins qu’à Amakna. Il fit le tour de la taverne. Plus loin, près de ruines au bord de l’eau, il y avait deux personnes qui semblaient se disputer. Une crâtte rousse, et un autre crâ blond. La crâtte rousse semblais l’enguirlander :
- Tu vas avouer, oui ? On m’a tout dis !
- Puisque je te dis que c’est faux. Pourquoi aurais-je des vues sur toi, d’abord ?
- Tu me suis toujours du regard ! Tu me fixe, j’ai l’impression que mon dos brule quand tu es là !
- N’importe quoi, c’est archifaux !
- S’il vous plait, calmez-vous....
A corps perdu, Albynn essayais pour la première fois de se mêler de ce qui ne le regardais absolument pas. Il avait toujours trouvé triste les gens qui se disputaient pour pas grand-chose, et étant dans un nouvel environnement, il se décida, pour une fois, à se lancer. La crâ rousse se tourna vers lui, l’air un peu énervée, puis son expression passa à la pure haine en le voyant. Albynn eu un mouvement de recul, essayant de se protéger du regard avec les bras, mais il se força à se détendre et à reprendre :
- J-je suis désolé, mais je pense que vous battre en pleine rue ou vous hurlez dessus n’arrangera pas vos affaires... Si vous avez des litiges, je ne crois pas que la rue apprécie de l’entendre haut et fort....
Le jeune eni avait l’impression de se faire percer le cœur par le regard. Il détailla la crâ, repérant un insigne de guilde au dessus du sein droit. Un insigne bleu, avec une lune blanche, sur laquelle on lisait « Tisseurs De Rêves ». Elle devait avoir presque la vingtaine, et avait le port fier. Elle portais actuellement son arc dans le dos. Malgré les usures, signe d’emploi régulier, il semblais bien entretenu, capable de tuer une proie à dix mètres, et s’habillais principalement avec du prespic. Puis la crâ cessa de le regarder, et partis d’un air supérieur. Le crâ lui tendit la main en guise de salut, tandis que Albynn regardais la demoiselle s’en aller.
- Salut, et merci. Moi, c’est Farn.
Albynn regardais la crâ rousse partir, et répondis à la place, en serrant la main d’un air distrait :
- Albynn, [Albine] à votre service, monsieur...Qui est cette personne... ?
- Ho, tu ne connais donc pas Matsuko ? Ce n’est pas contre toi, t’inquiète pas, mais c’est juste qu’elle déteste les eniripsa.
Sous son haillon, le cœur de l’eni battait plus fort. Pour une fois, il avait vraiment envie de quelque chose. Il voulait absolument rentrer chez les Tisseurs De Rêves, et il était prêt à tous les efforts pour.
Cœur de pierre fêlé.
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Derniére modification le 02/03/13 é 10:45
Liste des principales mises é jour :
30/10/12 - Ajout d'images, ajout de six nouveaux paragraphes
06/12/12 - Ajout du journal actuel (page 12)
4 commentaires :
Albynn [Memoria Cataria]724Hors ligne
25/04/2012 (11:17)
Nan, la crâ en question est devenu sa compagne, puis est morte a cause d'une blessure du Corbeau Noir (quand il était encore IG celui là)
Sinon, rolement parlant, y'en a beaucoup qui courent après le pauvre Byby x) Au mauvais sens du terme.

Hey, Ambulance, bien joué pour la gemme à 251K aux enchères hier! :D
doflix [Les Chevaliers du Chaos]1287Hors ligne
24/04/2012 (18:38)
Donc ya une cra qui te deteste ig dans Wakfu...c'est sa? x)
Albynn [Memoria Cataria]724Hors ligne
21/04/2012 (10:10)
Merci ^^
Ceci s'est passé en RP par rapport au reste, hein! Chaque personnage existe ou a exister rolement parlant!
Ambulance [Lëgend]11Hors ligne
21/04/2012 (00:30)
Excellent :)
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